• <blink style="VISIBILITY: hidden">UNE NOUVELLE TOMBE DECOUVERTE DANS LA VALLEE DES ROIS ? </blink>

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    The Amarna Royal Tombs Project (ARTP), dirigé par Nicholas Reeves est affilié à l’université de Durham. C’est un projet de de la Fondation de la Vallée des Rois , une organisation à but non lucratif créée en 1998, dédiée à l’exploration, la documentation et la préservation de ce patrimoine mondial sans équivalent.


    En l’an 2000, l’ARTP avait déjà remarqué l’existence d’une cavité dans la partie centrale de la Vallée des Rois, se trouvant plus précisément tout près du coin sud-est du mur moderne construit pour prévenir une éventuelle inondation autour de la tombe de Toutânkhamon, et non loin de la KV 63 récemment découverte. Les échos radar étaient forts et impressionnants, beaucoup plus que ceux qui signalèrent l’existence de la KV 63. Analysées, ces données semblent prouver la présence d’une autre tombe se trouvant à une profondeur considérable, la KV 64.


    Si l’on considère son emplacement, cette tombe pourrait avoir une signification très importante. Le fait qu’elle soit voisine de la KV 62 (celle de Toutânkhamon) et de la KV 63 fait penser à Nicholas Reeves que cela pourrait être une tombe du début de la période post-amarnienne et qu’il n’est pas impossible qu’elle abrite une ou plusieurs momies de cette période. Nicholas Reeves l’avait déjà évoqué en 1997 et pense que la découverte de la KV 63, où l’on a trouvé du matériel essentiellement destiné à la momification, mais pas de corps, met cette hypothèse en évidence.

    Source
    :
    Egypte Djeser Djeserou


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  • <blink style="VISIBILITY: hidden">Découverte d'un nouveau tombeau dans la Vallée des Rois en Egypte </blink>

    Des archéologues ont dévoilé mercredi le premier tombeau découvert dans la Vallée des Rois en Egypte en plus de 80 ans. Le contenu du dernier des sept sarcophages qui se trouvaient à l'intérieur a notamment été mis au jour.

    " C'est encore mieux que de découvrir une momie. C'est un trésor ", a souligné la conservatrice Nadia Lokma. " Cela va nous apporter des informations sur les plantes et herbes religieuses utilisées par les Egyptiens, ce qu'ils portaient, comment ils le tissaient, et la manière dont ils embaumaient les défunts ".

    Creusé profondément dans la roche blanche, le tombeau est simplement connu sous son acronyme KV63. Il s'agit en effet de la 63e tombe découverte dans la Vallée. Des archéologues américains l'ont mise au jour par hasard l'an dernier alors qu'ils travaillaient sur un autre site à quelques mètres de là. Elle aurait plus de 3.000 ans.

    Les chercheurs ont creusé la porte du tombeau et ont eu un premier aperçu de son contenu en février. Mais mercredi, des archéologues et journalistes ont pu pénétrer pour la première fois dans le tombeau de 2,5 par 4,5 mètres. Sous leurs yeux, le septième sarcophage a été ouvert . Mais au lieu d'une momie, il a révélé du matériel d'embaumement, des dizaines de colliers fabriqués avec des fleurs tissées et différents objets religieux .

    Recouverts de résine moulée dans le visage de leurs propriétaires, les sept cercueils ne contenaient aucun corps . L'un d'entre eux, fabriqué pour un bébé, renfermait des coussins apparemment rembourrés avec des plumes. Nadia Lokma espère que les hiéroglyphes pourront aider les archéologues à découvrir comment étaient fabriqués les sarcophages, ainsi que le lieu où sont enterrés les corps.

    Le tombeau avait été découvert alors que plus aucun archéologue ne s'attendait à mettre au jour de nouvelles sépultures dans la Vallée des Rois, située près de Louxor et où plusieurs dynasties de pharaons sont enterrés. La dernière tombe découverte avant la KV63 était celle du célèbre Toutankhamon en 1922.

    Source:
    Le Nouvel.obs

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  • Deux sarcophages découverts près des pyramides de Guizeh

    Le Caire


    Une mission archéologique égyptienne a découvert deux sarcophages emboîtés près des Pyramides de Guizeh, a annoncé lundi le Conseil suprême des antiquités égyptiennes.

    Ces sarcophages, qui datent de la 26e dynastie (664-252 avant J.-C.), ont été découverts à environ un kilomètre au sud des Pyramides, a déclaré le secrétaire général du Conseil suprême des antiquités, Zahi Hawass, cité par l'agence MENA.

    Des hiéroglyphes se référant au Dieu Osiris, le dieu des morts, et au dieu soleil Râ sont inscrits sur le premier sarcophage polychrome, qui mesure 2 mètres de long et 70 cm de large, selon le communiqué.Une momie a été retrouvée dans le second sarcophage qui était emboîté dans le premier et sur lequel figurait le nom d'un personnage, à l'importance inconnue, s'appelant Neb Ra Khatow.


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  • Suspense et grincements de dents dans la vallée des Rois


    ARCHÉOLOGIE - Une tombe découverte à Louxor, en Égypte, pourrait être celle de la veuve ou de la mère de Toutankhamon

    Les égyptologues retiennent leur souffle en attendant que soit percé le mystère de la première tombe découverte dans la vallée des Rois, à Louxor, depuis celle de Toutankhamon, en 1922. Mais cette découverte surprise, en février, par une équipe américaine de l’Université de Memphis suscite des grincements de dents dont les échos se font entendre au-delà de la plus célèbre nécropole de l’Égypte pharaonique.
    L’hypothèse que cette petite sépulture nommée KV63 recèle une momie royale – peut-être celle de la veuve ou la mère de Toutankhamon – est ouvertement évoquée, et disputée, par les égyptologues américains et égyptiens. « Nous sommes tous très enthousiastes, mais nous devons rester prudents », a dit à l’AFP Lorelei Corcoran, directrice de l’institut d’archéologie de l’Université de Memphis, pour qui la découverte est déjà « unique ».
    Pour sa part, le directeur des antiquités de Louxor, Mansour Boraïk, estime à « 70 % » les chances d’exhumer une momie royale dans l’ultime des sept sarcophages en bois qui gisaient depuis 3 000 ans au milieu de 28 jarres. La récente découverte dans la tombe, annoncée ce week-end, de trois petits sarcophages dorés renforce cette hypothèse, alors qu’initialement il ne semblait s’agir que d’une cache pour matériel de momification. Le découvreur Otto Schaden, qui conduit l’équipe américaine, pencherait en faveur de la momie de Ankhesenpamon, la veuve de Toutankhamon, ayant trouvé des traces de son nom sur le sceau d’une jarre. Pour Zahi Hawass, le patron des antiquités égyptiennes, il pourrait s’agir de la mère du pharaon, dont on ignore l’identité, et non de son épouse qui a survécu à Toutankhamon, mort à l’âge de 18 ans. « La veuve de Toutankhamon s’est remariée avec le haut dignitaire Ay, devenu pharaon en fin de la 18e dynastie, et elle a eu le temps de se faire enterrer plus dignement » que dans ce caveau, estime-t-il. La sépulture était enfouie sous des gravats, à quatre mètres de profondeur, et elle est distante de seulement sept mètres de celle de Toutankhamon, la KV62, qui recelait, elle, un extraordinaire trésor.
    Si Akhenaton l’hérétique est présenté comme le père de Toutankhamon, sa mère est inconnue : Nefertiti, une princesse étrangère ou sa nourrice Maya, dont la tombe a été trouvée en 1996 à Saqqarah par l’égyptologue français Alain Zivie. « C’est excitant, cette découverte pourrait lever le voile sur la fin de cette période cruciale », a dit ce dernier à l’AFP.
    Si les archéologues égyptiens et américains exposent publiquement leurs divergences, plus feutrées mais non moins réelles sont celles qui ont éclaté au sein de l’équipe américaine. Zahi Hawass, le tout-puissant chef des antiquités, ne s’est pas privé de révéler lui-même « ce combat » opposant Otto Schaden à sa « patronne » au sein de l’Université de Memphis, Lorelei Corcoran. Il a affirmé dans l’hebdomadaire al-Ahram Weekly, que la dispute porte sur « la direction de la fouille » et que ces « excellents égyptologues » se disputent aussi sur « qui doit parler à la presse », s’échangeant des courriers acrimonieux. « Évitons la dramatisation, l’essentiel est ce que la tombe va révéler, et honnêtement, je n’en sais rien », a indiqué Mme Corcoran, précisant que la concession de fouille a été étendue à la fin juin.
    À cette contestation interne à l’équipe américaine s’ajoute aussi la revendication de l’archéologue britannique, Nicolas Reeves, un des meilleurs spécialistes de la vallée des Rois, d’avoir le premier repéré la sépulture. À la tête d’un vaste projet nommé « Amarna Royal Tomb Project » (ARTP), Reeves avait travaillé dans la zone du sanctuaire KV63 jusqu’à 2002, date à laquelle il fut injustement soupçonné d’avoir trempé dans un trafic d’antiquités. « Tristement, on ne nous a pas laissé l’opportunité de mettre notre stratégie à l’œuvre », écrit-il dans son site Internet, en exprimant sa grande déception devant le « fait accompli » de la découverte par Otto Schaden.

    Dernier article paru sur le site
    "L'Orient-Le Jour"

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  • Une équipe d'archéologues français et égyptiens vient de découvrir des cartouches en or datant des règnes de la reine Hatchepsout et du roi Thoutmosis III, sous la XVIIIe dynastie, a annoncé
    vendredi le conseil supérieur des antiquités éyptiennes (CSAE).

    L'équipe d'archéologues a découvert deux séries de neuf cartouches, des ornements en forme de feuille à demi-déroulée, portant les noms de Thoutmosis III et d'Hatchepsout près du temple de la reine Hatchepsout à Louxor, à 700 km au sud du Caire, selon la même source.

    Les cartouches ont été découvertes près de l'obélisque d'Hatchepsout, ce qui prouve que l'obélisque a été érigée par les deux dirigeants, qui ont régné aux environs de 1500 avant J.-C., a dit Zahi Hawass, secrétaire général du CSAE.

    « Cela contredit la thèse qui prévalait jusqu'alors, selon laquelle Thoutmosis III, qui a succédé à la reine, avait tenté de cacher l'obélisque de cette dernière à son arrivée au pouvoir et qu'il avait tout fait pour effacer les traces de son règne », a-t-il dit.

    Les spécialistes estimaient jusqu'à présent que Thoutmosis III avait détruit les statues de la reine, en particulier dans son temple de Deir el Bahary à Louxor, selon la même source.

    Les cartouches seront transportés au musée du Louvre à Paris.

    Source :
    Cyber Presse

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